Baye Niass, la Fayda et le Mawlid : La voie d’un érudit aux enseignements intarissables…

Sa mère Saïdâ Aïcha Diankha dite Astou, décédée en 1938, était une femme très pieuse et vertueuse. Son époux avait prédit : « Cette femme donnera naissance à mon héritier spirituel et il ne peut en être autrement. ». D’ailleurs, dans la préface qu’il a faite à Kaashifoul albas ou la levée des équivoques, traité … Read more